Septembre 2011 - Crocodile dundee and far west!

 




Nous y voici, dernier état, le North Territory, ses vastes étendues désertiques, son climat tropical, ses réserves naturelles et ses parcs nationaux d’une faune et flore extraordinaire et sans oublier sa culture aborigène…

Arrivée à Darwin, les mains moites et environ 35 degrés, mais 30 kg de bagages( je me fais toujours avoir à l’aéroport , mais la négociation avec le sourire marche toujours !)
Et je suis attendu par David (un ami d’une amie) qui viens me chercher et va m’héberger pendant mes quelques jours ici. J’aime quand ça commence  bien comme ça !:)
Plutôt sympa comme endroit à 10 min du centre et 15 de la plage. Il partage l’appart avec l’un de ses collègues Tim.













Juste le temps de faire un petit tour de la ville (sans grand intérêt) passer une soirée mémorable à danser la salsa sur la plage de Mendli beach, faire la rencontre d’un beau Néozélandais,










et me voilà partir avec Victor, 26 ans, chilien, mon nouveau « compagnon de voyage », rencontré sur gumtree.  Gumtree est un site très pratique que j’utilise depuis le début de mon voyage. C’est un concentré entre « le bon coin », « Meetic » et « co-voiturage.fr », la farfouille du net quoi !  Bref, on y trouve de tout et pour chaque états du pays. Me concernant, il m’a servi uniquement pour trouver des backpackers avec qui voyager comme par exemple, mon 1er road trip dans le western Australie, j’en garde de très bons souvenirs !





1ère destination : 3 jours à Litchfield National Park
D’une superficie de 1500 m2, ce parc est connu et réputé pour ces chutes d’eaux et ses cascades
Les Tomers Falls offrant une vue magnifique sur la vallée

 




Les Wangi falls sont les chutes d’eaux les plus visitées. Les cascades qui coulent toute l’année, remplisse un magnifique bassin où l’on peut se baigner . Cependant, durant la saison humide (décembre à mars)  il vaut mieux éviter.













(Outre ces paysages magnifiques, je m’ennuie  à mourir avec Victor, pas très causant et pas très fun. C’est pas grave, je garde le smile et je profite)

Kakadu National Parc (ou la nature à l’état pur)

Classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 1981, Kakadu est bien plus qu’un simple parc national, il est un univers naturel et culturel à part qui s’étend sur 20 000km2, couvrant un écosystème impressionnant et une variété d’art aborigène.
Le Kakadu est composé à plus de 80% de savane et foret. Il renferme plus de 1000 espèces végétales dont beaucoup servent aux aborigènes pour l’alimentation et la médecine.



Billabong (trou d’eau) bordé d’une très grande variété d’oiseaux, et aussi des crocodiles !









Faune : Le kakadu héberge plus de 25 espèces de grenouilles, 60 races de mammifères, 120 reptiles différents et 280 espèces d’oiseaux (dont un tiers originaires d’Australie) et quelques 10 000 variétés d’insectes. A l’heure, où j’écris ces lignes, je suis dans ma tente au milieu du kakadu, j’entends les crapauds buffles sautiller, les moustiques me piquer, et les oiseaux voler juste au-dessus mon habitation. Il doit y avoir bataille entre chauves-souris et perroquet blanc !  J’ose même plus sortir de la tente!
 






Le paysage est en perpétuel changement, tantôt brulé, tantôt inondé, tour à tour aride et fertile.
Le climat à cette période est chaud (35degrés) et humide. Les mouches te poursuivent et te piquent et en 8 mois en Australie, je n’ai jamais vu des moustiques aussi féroce !!!  Nous sommes actuellement dans la saison sèche (le dry) qui a lieu d’avril/mai à septembre/octobre. 




















les rangers du parc provoquent des feux volontaires, une technique ancestrale que retrace Bill : « Cette terre. Je ne la détériore jamais. Le feu n’est rien. Juste nettoyer. Quand tu brûles, une nouvelle herbe arrive. Ce qui signifie de nouveaux animaux, peut-être des goannas, opossums et wallabys. Tout brûler. Une nouvelle herbe arrivera. Et la vie tout autour. »




Quant à la saison des pluies (la wet) : de oct/nov à mars/avril. Les zones humides et les cascades se remplissent d’eau et certaines routes sont impraticables.




Les aborigènes, quant à eux, découpent l’année en 6 parties. De mi-aout à septembre, on est dans la Gurrung. Fin de la saison sèche et début d’un nouveau cycle. Le taux d’humidité augmente, la température dépasse les 34 degrés et les moustiques pullulent. Et je dirais que je suis pile dans la période !












Le pass pout rentrer dans le parc de Kakadu est de "seulement" de 25 $ pour 15 jours et on se trouve des campings avec douche pour 10$


  
 
Et l’une des attractions du parc est une croisière sur l’East alligator river accompagné de guides aborigènes qui nous parlent de leur culture, de la chasse et nous montre leurs outils et aussi ….

... YYYYYYAVAIT DES GROOOOOOOOOOOOS CROOOOCROOOODILES ….

















2 variétés :
En eau douce, les freshies, n’accédant pas plus de 3 mètres
Les salties, beaucoup plus répandus ! 
Grâce à une soirée docu histoire par une guide du parc, j’ai pu apprendre que le kakadu renferme à lui seule env. 6 000 crocodiles. Et l’unique conseil : si tu vois un crocodile, juste, cours !!!! Il se peut sauter dessus en quelques secondes
Entre 11h30 et 12h30, on assiste à la chasse des crocodiles! C'est impressionnant de voir à quelle vitesse le crocodile chope le poisson dans sa gueule!

















Petite marche de 2h en plein cagnard, mais le  paysage vaut le détour. Juste un peu peur de croiser un crocodile ou un serpent. Finalement, j’ai croisé une famille de sanglier qui a eu plus peur que moi, des lézards, et j’ai accéléré le pas quand j’ai vu le crocodile au loin (je crois que lui aussi m’a vu !) Tout cela accompagnée des mouchent bien sûr !:)



 


 


























L'art aborigène


C’est grâce aux compétences des guides sur places que l’on a pu en apprendre un peu plus sur l’histoire et l’art des aborigènes.


Répartis en tribus, les Aborigènes se distinguent par la langue et le territoire. Il y aurait encore aujourd’hui plus de 400 tribus aborigènes en Australie. Chaque tribu est la propriétaire d’une terre, bien délimitée.


Le Kakadu recèle des plus extraordinaires ensembles d’art aborigènes avec plus de 5 000 sites datant de 10 000 à 20 000 ans. La plupart de ces sites sont situés dans des zones interdites d’accès ou inaccessibles. Toutefois, nous avons pu en visité 2, celle d’Ubir et Nourlangie. 
 








Les aborigènes, ne peignent aujourd’hui que très rarement sur les rochers, ils ne vivent bien sûr plus dans les grottes et sont de moins en moins nombreux à posséder la maitrise de cet art.
La culture aborigène étant avant tout orale, la transmission du savoir passe essentiellement par les chants. Les chants expliquent la puissance comment l’environnement contient la puissance des ancêtres créateurs, qui peuvent exercer une influence bénéfique ou maléfique. Ils ont aussi une  utilité pratique puisqu’ils indiquent les meilleurs endroits pour chasser, ou bien trouver de l’eau pendant la saison sèche. Les chants peuvent préciser les relations de sang entre les individus et indiquer les partenaires d’une union.

























Sunset!



Pour la petite note "culture cinématographique" c'est aussi à Kakadu qu'à été produit le fameux film "Crocodile Dundee" !





















 










Sinon, cela fait maintenant 5 jours que je voyage avec Victor, et il commence à me gaver un petit peu beaucoup… J’ai parfois l’impression de parler à un mur ! Du coup je me parle à moi-même. J’ai fini par engager la discussion et lui dire qu’il n’y avait pas de connexion et que je n’étais pas là juste pour partager les frais d’essence…T’attends une réaction quand tu es sur le haut de la montagne et que tu as une vue splendide du sunset, et Ba lui, non.
Bref, ça tombe bien, lui non plus n’a pas le feeling. On décide d’un commun accord que l’on finit kakadu et qu’il me déposera à Katherine, pas question de continuer jusqu’à Alice Spring pour qu'il me gâche mon voyage.
Stop dans un backpacker, un peu dépeuplé,  mais où je n’ai rencontré que des gens hyper sympa, je serais bien restée un peu plus longtemps, mais la ville de Katherine n’a aucun intérêt, ormis les alentours avec des gorges et cascade, mais je n’ai pas envie de dépenser mon argent ici. Je le réserve pour Alice Springs, Uluru et Kings Canyon !:)
Mais là chose est, comment j’y vais, avec qui et quand, et à combien aussi ? Entre temps, j’ai laissé une annonce pour trouver un nouveau lift, mais trop demandes pour pas assez d’offres.
Bref, après une nuit à réfléchir. J’ai décidé que je n’avais envie de perdre mon temps à attendre, mieux vaut être seule que mal accompagné,  je vais donc y aller par mes propres moyens et réserver  un tour organisé pour  rencontrer des gens et avoir certainement du fun avec des guides sympas. Au final, j’ai passé ma journée sur le net à trouver les meilleurs plans et à dépenser 900 $, tout ça e  restant dans ma chambre de backpacker !
Le moyen de transport le plus cheap,  Katherine > Alice Springs en bus : 235$ - 1 181 km et 14h37min de trajet (en Australie on dit : « what’s the fuckkk !)
Tour de 3 jours et 2 nuits avec la compagnie Emu run : 350 $, un très bon prix
Vol  Alice Springs > Perth : 350 $, là aussi, c’était le moins cher
Ça pique un peu mais je ne peux pas partir sans avoir vu Uluru et Kings Canyon, et quoiqu’il arrive, ce devait être le final ! Et il m’en reste encore un peu pour profiter en Asie…





ALICE SPRING



Située le long de la Stuart Highway, à mi-chemin entre Adelaide et Darwin, Alice Springs se détache immédiatement sur la carte de par son exceptionnel isolement : toute proche du centre géographique du continent australien, cette ville du désert est à pas moins de 1200 km de la côte, et près de 1500 km de la capitale la plus proche.


















C est aussi l'une (ou peut être la première) avec une majorité d aborigènes. Et malheureusement lorsque l’on regarde au-delà de ces œuvres, la situation des aborigènes d’aujourd’hui est loin d’être une histoire de conte de fée : la plupart d’entre eux sont minés par l’alcool, la drogue et la violence, marginalisés, ils vivent trop souvent en situation de précarité extrême. Mal-être et pauvreté hérités des sombres heures de la colonisation…


Fin d’après midi… Je pars en compagnie de Matthieu (rencontré dans le bus la veille) pour aller nourrir des walabyS dans un caravan park à quelques pas d’ici…
 


Samedi matin, 5h25, on est attendu à l’entrée du backpack par War-Wick, notre guide pour les 3 jours, on prend la route, quelques 450 km à parcourir avant plusieurs arrêts…



Pipi!                                                            et une affiche à la station essence des plus attrayante!!!                                             

     
  

Uluru Kata tjuta, les Anangu vous accueillent sur la terre des Aborigènes !

Posées au centre de ce pays continent, ces formations de grès rouge pour les Aborigènes ont été découvertes en 1873 par William Gosse et sont depuis 1958 un parc national classé lui aussi patrimoine mondial de l’Unesco.
Ce lieu est sacré pour les Anangu, peuple aborigène ancestral. Selon leurs croyances, les montagnes, la végétation, la faune et les hommes ont été créés au même moment pendant la période de la création, la Tjukurpa.

 
   

Et nous y sommes !!!! voici une photo des plus originale....


C’est parti pour une marche de 10km autour du rocher!
Véritable emblème de l’Australie, Uluru (ou Ayers Rock) mesure 9,6 km et s’élève à 348 m (à quelques mètres près de la Tour Eiffel). Il résulte de l'érosion de plusieurs millions d'années.











Il manque la vidéo  parce que le lézard était vraiment marrant. Il avancait 2 pas en avant, un pas en arrière, Trop stylé !









Nous sommes peu sur ce tour, Willy l'anglais, Toby l'australien, Mat et moi les français, et le guide. ce n’est pas plus mal finalement, l’ambiance est agréable et le guide sympa et fun.

Ca vaut bien un petit apéro en admirant le sunset !:)





Scéance shooting obligatoire....






Le paysage d’Uluru  change de façon spectaculaire avec la lumière. L’après midi, la roche prends des couleurs ocre- brun. Au crépuscule, elle devient orange éclatant puis passe d’une gamme de rouge de plus en profond juste avant de virer au noir de l’obscurité.

















On se retrouve au camping, on va dormir à la belle étoile. Ça aussi, c’est un spectacle époustouflant en Australie !
Nous déroulons les swags (un 2 en 1 duvet/tente) pendant que war wick prépare le diner de ce soir. C’est spécial bush camp, on goute au damper, ce pain à base de farine, pomme de terres et bière. 1 h dans la marmite, trop bon!




  Le Kata Tjuta
Nous prenons la route pour Kata Tjuta (ou monts Olgas) à 30 kilomètres d’Uluru. C’est un ensemble de rochers arrondis qui forme des petites vallées et gorges. Le plus haut de ces rochers, le Mont Olga, mesure 546 mètres de haut soit 200 mètres de plus qu’Uluru. Kata Tjuta signifie « beaucoup de têteS » et est un site sacré pour les aborigènes, tout comme Uluru. En pratique, cela signifie que certaines zones ne doivent pas être approchées ou photographiées. Selon une légende, Kata Tjuta et Uluru auraient été créés par deux enfants géants, qui s’ennuyant, auraient joué avec des pierres et de la terre. Durant leur jeu, l’un des enfants géants aurait jeté derrière lui les pierres et laissé devant lui un tas de terre. Les pierres sont Kata Tjuta et le tas de terre est Uluru.

Pour la petite anecdote, après l'apéro sur Uluru, nous avon continuer la soirée au camp et jouer à l'un de ces jeux d'alcool en buvant du goon, ce cubis de vin dégueu... Bref, vu que c'était l'anglais qui faisait des règles absurdes et qui avait un accent terrible, je ne comprenait bien, perdait à chaque fois, et buvait à chaque fois! Du coup, j'ai fait cette marche petit matin, complètement KO et avec un mal de crane carabiné! Mais les paysages étaient tellement incroyables que j'ai réussi à faire abstraction!







Nous serpentons le sentier de 7 km à travers de magnifiques paysages parfois surréalistes. On se croit avec Idiana Jones à Jurrasic Park, c’est grandiose !!! Les photos, malheureusement ne  montrent pas la beauté et la grandeur de ce lieu mieux que nos propres yeux. Peut-être qu’ils vont donnerons aussi envie de venir faire un tour .)
 





KINGS CANYON
Le lendemain matin, 5h du mat après un petit déjeuner rapide, on arpente le circuit surnommé Le Rim Walk qui passe au sommet des falaises. Il fait une boucle de 6 km et demande 3 à 4 heures de marche. Au début de la promenade, un chemin appelé « la montée des infarctus », en raison de la difficulté à le grimper, conduit au sommet du canyon. On a de très belles vues sur le canyon et le désert environnant.








Vous avez vu ? J’ai une tortue au-dessus de moi… Le lapsus est amusant… 



Le jardin d’Eden jouit d’une nature luxuriante avec un bassin naturel où les plus courageux osent se baigner (elle est gelée !!!) Ce « jardin d’Eden » n’abrite pas moins de 600 espèces animales et végétales dont des varans, des serpents, des grenouilles, des palmiers,des cycas et des fougères. Lorsque la chaleur devient étouffante au sommet des rochers, il y a cette possibilité extraordinaire de se baigner, à l’ombre, dans une piscine naturelle bordée d’une petite cascade. Passant d’une mini-forêt tropicale à l’aridité du désert, le site de Watarrka est un incontournable sur la route d’Uluru.


 






























La dernière moitié du circuit se fait au milieu de dômes de grès, restes de millions d'années d'érosion.


                 

Un dernier Barbrecue et on reprends la route pour Alice Springs...




Ce dernier périple en Australie aura été au-delà de mes espérances !  J’en ai pris plein les yeux!  Entre les parcs nationaux au nord et le centre rouge, le North Territory est un état d’une nature incroyable!
 

Mathieu si tu lis ces lignes, ravie d’avoir faire ce petit bout de voyage avec toi.  Happy travel, you ‘ll be allright mate!


Un avion plus tard...
Et je finis mon blog là où je l’ai commencé, à Perth, chez mon amie Aurélie (merci pour tout...) Juste 1 semaine le temps de me reposer, ou plutôt d’attraper la crève.  Il ne fait que 22° ici, je suis gelée après 5 mois à 35°. Je n’ose même pas penser à mon retour en France…. Quelle idée de rentrer en novembre…
La semaine prochaine, je m’envole pour l’Asie. 6 semaines pour profiter et découvrir une nouvelle culture et de nouveaux paysages, je suis impatiente!
1 er stop à Bali où je retrouverais Fabien, mon ancien collègue de chez Net D, qui s’est pris un aller simple avec son amoureuse pour aller explorer les fonds marins (il a tout compris! ) Puis ensuite, ce sera la Thaïlande et mes 2 dernières semaines au Cambodge. Je n’ai pas de Lonely Planet, tous vos conseils (ou contacts) sont donc les bienvenus amis voyageurs!

Voilà, l’Australie, c’est fini! Je repense à ces 8 mois passés, à tous ces kilomètres parcourus, la découverte de paysages incroyable, une nature sublime, des rencontres improbables et de belles amitiés!
Certes, j’ai eu quelques embuches sur le parcours, un jour tu es sur un voilier pour découvrir une ile paradisiaque, et l’autre jour, tu te retrouves sans tunes et sans abris à dormir sous un pont, mais l’Australie (et ses gens) offre la possibilité de rebondir facilement.


Je me suis rarement sentie seule, il y avait toujours quelque un pour m’aider ou m’accompagner. Et finalement, les galères font parties du voyage. C’est pas toujours rose, n’est-ce pas?  Entre le surf a Margaret river, ces fucking grappes de raisins a Tutunup, les soirées à Melbourne, la vie de backpack a cairns, sans oublier ma vie de bush woman a Croydon, je pense que j’aurai vécu l’Australie! Et je suis heureuse!!!! Heureuse de l’avoir accomplie toute seule. Je repense à ma famille '' Claire, tu crois quoi, t arrives déjà pas à t4en sortir en France, comment tu feras en Australie, t’es un vrai panier perc2, tu perds tout, t oublies tout...'' VRAI !!! ça, ça n’a pas changé, je crois même que c’est pire! J’ai dû dépenser plus de 10 000 $, perdu un nombre inconsidérable de fringues et autres trucs, ma grosse perte fut mon disque dur (et une autre perte récemment que j’ai n ai toujours pas digéré)  mais ça n’est que materiel…

L’Australie va me manquer, la lumière de l’outback à l’arrivée du sunset, les barbecues sur la plage, la vie de nomade EN sac à dos, en van roulant sur des kilomètres d'une ligne droite, mes tongs, et mon bronzage permanent ….. Ahhhh, my god !!!! Heureusement, je ramène avec moi une dizaine de boites de Tim Tam, les meilleurs biscuits au chocolat jamais gouté !

Entre y songer et réserver son billet, il n y a qu’un pas, un pas parfois difficile à franchir, mais quand tu y es, c’est juste bonheur et liberté!!!!

Ps : Au fait, j’arrive le 29 octobre à 7h20 à Paris CDG. Des volontaires pour venir me chercher?)
tout bientot!
Grosses bises